L'histoire commence alors que j'étais venu m'improviser modèle pour un shooting de membres de l'association Image'in Serris. Il est toujours intéressant d'inverser les rôles, c'est une façon d'apprendre aussi, notamment dans la direction de modèles.
Bref, la bande de joyeux -mais sérieux- photographes avait plein d'idées, de costumes, d'accessoires, un lieu... et globalement une organisation très cadrée.
J'avais sur moi mon matériel photo dans l'idée peut être de surprendre la vie sauvage en forêt entre deux poses, ou en tout cas quelque chose qui ne soit pas habituel dans mon "bois" de proximité... le Bois de Vincennes.
Malheureusement, point d'ours blanc ni de tigre du Bengale dans les forêts de l'Oise, du coup je n'ai pas pu m'empêcher de prendre mes propres clichés des idées et mises en scènes de Mélody, Paulo et Thierry.
J'avais peur, évidemment, de singer leur style puisque toute la démarche artistique initiale était la leur; c'était mal les connaître car au final chacun a fait des choses très différentes et personnelles. Néanmoins, en me sentant obligé d'aller au delà de la bonne photo "brute" qui aurait pu parasiter leurs œuvres, j'ai choisi de typer fortement mes clichés en post-production.
Dans cette démarche, je suis parti vers le monochrome en post traitement, pour retrouver l'ambiance des vieux films de Samouraïs de Kurosawa.
Bref, la bande de joyeux -mais sérieux- photographes avait plein d'idées, de costumes, d'accessoires, un lieu... et globalement une organisation très cadrée.
J'avais sur moi mon matériel photo dans l'idée peut être de surprendre la vie sauvage en forêt entre deux poses, ou en tout cas quelque chose qui ne soit pas habituel dans mon "bois" de proximité... le Bois de Vincennes.
Malheureusement, point d'ours blanc ni de tigre du Bengale dans les forêts de l'Oise, du coup je n'ai pas pu m'empêcher de prendre mes propres clichés des idées et mises en scènes de Mélody, Paulo et Thierry.
J'avais peur, évidemment, de singer leur style puisque toute la démarche artistique initiale était la leur; c'était mal les connaître car au final chacun a fait des choses très différentes et personnelles. Néanmoins, en me sentant obligé d'aller au delà de la bonne photo "brute" qui aurait pu parasiter leurs œuvres, j'ai choisi de typer fortement mes clichés en post-production.
Dans cette démarche, je suis parti vers le monochrome en post traitement, pour retrouver l'ambiance des vieux films de Samouraïs de Kurosawa.
Modèle : Alexandre